Cliquez ici >>> 🕛 Ă©coute Ă©coute surtout ne fais pas de bruit

Ecouteton coeur. Il est le seul Ă  te parler de toi-mĂȘme, le seul Ă  dĂ©tenir la vĂ©ritĂ© vraie. Sa raison est plus forte que toutes les raisons du monde. Fais-lui confiance, laisse-le guider tes pas. Et surtout n'aie pas peur. Yasmina Khadra (infos) Les Hirondelles de Kaboul (2002) Gargouillis grincements, sifflements, craquements. Notre corps émet toute sorte de sons. Communs certes, mais aussi très étranges. Ces bruits, le plus souvent physiologiques et bénins, peuvent cependant traduire une alerte que nous transmet notre organisme. Mieux vaut donc être à l’écoute de ces “tapages” qui peuvent Maintenantqu’on y pense, Le succĂšs n’est rien de plus que la vie de n’importe quel musicien français dotĂ© d’un QI supĂ©rieur Ă  50, mais passĂ©e en accĂ©lĂ©rĂ©. Celui-ci, en gĂ©nĂ©ral, suit une pente descendante (ne cherchez pas, c’est du Raffarin). Fier dans la vingtaine et crachant Ă  la gueule du Capital, il commence Ă  courber l’échine dans la Labandon de la diffusion FM se fera pour 2022/2023 et ce, grĂące Ă  l'augmentation de la diffusion en DAB+. À l’heure actuelle, 71% de la population suisse captent les programmes de radio en mode numĂ©rique, c’est-Ă -dire en DAB+ contre seulement 13% pour la diffusion en FM. Avec cette augmentation significative, l’abandon PDF1,99 €. Écoute, Ă©coute (2'30) ref. 2004 - Audio MP3 extrait de Les 20 plus beaux chants pour prier (SM) InterprĂ©tĂ© par Jean-Claude Gianadda et Les Petits Chanteurs de Saint-Laurent. MP3 0,99 €. Écoute, Ă©coute (3'10) ref. 2006 - Audio MP3 extrait de Les plus cĂ©lĂšbres chants d'Église - Volume 2. InterprĂ©tĂ© par l'Ensemble vocal Site De Rencontre D Amour En France. Pour pouvoir communiquer efficacement avec une autre personne, savoir Ă©couter est l'une des compĂ©tences les plus importantes. Heureusement, c'est une compĂ©tence que l'on peut acquĂ©rir et travailler. Nous vous en parlons est une compĂ©tence qui peut ĂȘtre cultivĂ©e et renforcĂ©e. Il est mĂȘme nĂ©cessaire de le faire, surtout si nous voulons interagir authentiquement avec les autres. Qui n’aime pas ĂȘtre Ă©coutĂ© avec attention et intĂ©rĂȘt ? Pour cela, il faut apprendre Ă  de nos plus gros dĂ©fauts est que nous avons tendance Ă  passer plus de temps Ă  parler qu’à Ă©couter. Le problĂšme est que nous ne rĂ©alisons pas les effets que cela peut avoir sur nos relations avec les avec attention est une vertu qui nous permet de capter ce qui nous parvient, d’analyser les informations reçues, de prendre des dĂ©cisions et de donner un avis. C’est une compĂ©tence fondamentale pour Ă©tablir une bonne communication et enrichir nos relations.“Le courage, c’est ce qu’il faut pour se lever et parler ; le courage est aussi ce qu’il faut pour s’asseoir et Ă©couter.” -Winston Churchill-Une Ă©coute attentive et empathiqueA l’ùre actuelle, il est essentiel de possĂ©der un certain degrĂ© de compĂ©tences en communication. Il ne s’agit pas seulement de savoir parler, mais aussi de savoir Ă©couter ceux qui nous entourent. Cela peut sembler Ă©vident. Pourtant, c’est loin d’ĂȘtre le cas pour tout le est une capacitĂ© qui implique d’établir une connexion avec une autre personne et de porter une attention rĂ©elle Ă  l’information qui est partagĂ©e. C’est-Ă -dire qu’écouter implique de l’empathie. Pour cette raison, c’est une compĂ©tence qui demande du temps, de la pratique et du communication profonde et authentique cĂšde parfois la place Ă  une communication plus pratique et fonctionnelle. Dans ce deuxiĂšme cas de figure, le poids des sentiments est moins important et l’interlocuteur a tendance Ă  ĂȘtre moins clĂ©s pour apprendre Ă  Ă©couterLe psychologue Daniel Goleman considĂšre l’écoute comme l’une des principales compĂ©tences des personnes ayant un haut niveau d’intelligence Ă©motionnelle. Si vous souhaitez dĂ©velopper l’art d’apprendre Ă  Ă©couter activement, au-delĂ  de ce que disent les mots, vous pouvez prendre note des clĂ©s suivantes
Éviter les distractionsNous sommes constamment exposĂ©s Ă  de multiples sources de distraction le bruit extĂ©rieur, les sons de nos appareils numĂ©riques, nos pensĂ©es
 Pour Ă©couter correctement, il est important d’éviter les distractions et de concentrer notre attention sur ce que l’autre personne nous transmet. Autrement dit, il s’agit de se concentrer sur le moment Ă  Ă©couter implique de poser des questions ouvertesUne question ouverte invite l’autre personne Ă  dĂ©velopper ses propos. Ces questions peuvent alors crĂ©er un espace pour une rĂ©ponse plus Ă©tendue, et montrent Ă  l’autre que vous ĂȘtes intĂ©ressĂ© par tout ce qu’ils vous somme, oser des questions ouvertes Ă  l’autre personne est une bonne technique pour apprendre Ă  Ă©couter. Nous l’encourageons ainsi Ă©toffer son vaut mieux ne pas interrompreSi vous avez du mal Ă  Ă©viter d’interrompre la conversation, l’autre pensera que vous ne vous intĂ©ressez pas Ă  ce qu’il dit et qu’il passe au second plan. Savoir respecter le tour de parole est essentiel pour une bonne communication et Ă©viter de participer Ă  des l’écoute activeCela peut sembler paradoxal, mais le manque de communication et l’isolement que beaucoup de gens Ă©prouvent aujourd’hui sont largement dus Ă  une Ă©coute inadĂ©quate. L’écoute n’est pas un processus active fait rĂ©fĂ©rence Ă  la capacitĂ© d’écouter les propos de l’interlocuteur tout en dĂ©chiffrant les sentiments, les idĂ©es et les pensĂ©es dissimulĂ©s dans les propos. Cela demande un effort plus important que la parole et l’écoute passive. L’écoute active implique donc les points suivants Faire attention Ă  son interlocuteur. DĂ©montrer sa capacitĂ© Ă  dĂ©chiffrer le message avec prĂ©cision. À l’heure d’apprendre Ă  Ă©couter, il faut mettre de cĂŽtĂ© les prĂ©jugĂ©sIl est important de savoir que lorsque nous avons une personne devant nous, elle n’est pas dispensĂ©e de recevoir un jugement et une opinion de notre part. Et ce, quel que soit le sujet de la des jugements de valeur sur l’interlocuteur peut affecter notre attention sur le discours. Il est donc important d’essayer de ne pas juger l’autre, ou du moins d’éviter d’entrer dans une dynamique nĂ©gative de prĂ©jugĂ©s et de somme, parler et Ă©couter sont deux processus implicites dans chaque acte de communication. Comme nous pouvons le voir, savoir Ă©couter nous dĂ©finit en tant que personne et en dit long sur nous. C’est une manifestation d’intĂ©rĂȘt vis-Ă -vis de l’autre, en plus d’ĂȘtre un vĂ©ritable acte de pourrait vous intĂ©resser ... L’écoute frĂ©quente et intensive de musique amplifiĂ©e via un casque ou des Ă©couteurs a triplĂ© entre 2007 et 2014 chez les 18-35 ans, passant de 4 % Ă  13 %, d’aprĂšs une Ă©tude de l’Inpes publiĂ©e mardi 19 janvier par le ministĂšre de la santĂ©. Les Ă©volutions technologiques, la dĂ©mocratisation des lecteurs MP3, smartphones et autres outils, ont accĂ©lĂ©rĂ© le phĂ©nomĂšne. PrĂšs d’un quart des adolescents 15-19 ans et plus d’un jeune adulte sur dix 15-35 ans est concernĂ© par ces pratiques excessives qui, Ă  terme, peuvent gĂ©nĂ©rer de graves troubles de l’ prĂ©cautions insuffisantesMĂȘme s’ils se disent conscients du danger, seuls 16 % des enquĂȘtĂ©s dĂ©clarent toujours » ou souvent » diminuer le volume sonore de leur baladeur ou rĂ©duire leur durĂ©e d’écoute. L’étude relĂšve que ce sont ceux qui dĂ©clarent des usages intensifs et rĂ©guliers, le plus souvent des adolescents, qui font partie des moins prĂ©cautions sont aussi insuffisantes dans les discothĂšques, les salles de concert et autres lieux de loisirs, frĂ©quentĂ©s rĂ©guliĂšrement par 21 % des personnes interrogĂ©es, en particulier les 20-24 ans, estime l’Inpes. Seul un tiers des interviewĂ©s disent s’éloigner systĂ©matiquement des enceintes lorsqu’ils jugent le volume trop Ă©levĂ© et seuls 3 % utilisent des bouchons d’ troubles de l’audition irrĂ©versiblesCes pratiques ne sont pas sans risque pour la santĂ©. Le temps d’exposition et l’intensitĂ© sonore sont les deux facteurs principaux Ă  prendre en compte pour Ă©valuer la nocivitĂ© du bruit, explique le Dr Pascal Foeillet, ORL, vice-prĂ©sident de la JournĂ©e nationale de l’audition qui aura lieu le 10 mars. Autour de 85 dB, il faut prĂšs de 8 heures d’exposition pour observer une altĂ©ration de l’audition. Au-delĂ  de 100 dB, il suffit de quelques minutes ». Un niveau sonore rapidement atteint lors d’un concert 105 dB ou lorsqu’un baladeur est rĂ©glĂ© Ă  pleine puissance 100 dB.Cette altĂ©ration peut ĂȘtre irrĂ©versible. Ce spĂ©cialiste met donc en garde contre les comportements les plus imprudents qui peuvent accĂ©lĂ©rer le processus de vieillissement de l’oreille sous l’effet de traumatismes sonores rĂ©pĂ©tĂ©s ». Divers troubles peuvent apparaĂźtre, comme les acouphĂšnes bourdonnement et sifflements, l’hyperacousie hypersensibilitĂ© notamment aux bruits brutaux et aigus ou une perte d’audition. Les traitements existants amĂ©liorent le confort de vie du patient mais ne le guĂ©rissent pas. L’audition perdue ne peut pas ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©e », poursuit le Dr troubles de l’audition ne s’accompagnent pas toujours de douleurs. Quand l’oreille commence Ă  souffrir, il est dĂ©jĂ  trop tard. »Renforcer la prĂ©ventionPour limiter les risques, FĂ©licie David, chargĂ©e de prĂ©vention santĂ© environnement Ă  l’Inpes, prĂ©conise une meilleure sensibilisation du grand public, et surtout des jeunes. Avec plusieurs acteurs, comme Audition solidaritĂ© ou le Centre d’information et de documentation sur le bruit ou la Semaine du son, l’Inpes estime qu’il faut avant tout renforcer les actions de terrain, comme la distribution de bouchons d’oreilles ou la diffusion du dĂ©pliant "Tout savoir sur les risques auditifs". Dans ce dernier, on voit que des gestes simples, comme des pauses de 30 minutes toutes les 2 heures ou de 10 minutes toutes les 45 minutes lors d’un concert ou le rĂ©glage de son baladeur Ă  la moitiĂ© de son volume limitent considĂ©rablement les dĂ©gĂąts. La JournĂ©e mondiale des communications, dimanche 29 mai, a pour thĂšme l'Ă©coute et souligne l'urgence de placer la personne au centre de l'information. Comme l'a soulignĂ© le Pape François, le bon journalisme ne peut se faire sans la capacitĂ© d'Ă©couter». Un besoin rendu encore plus Ă©vident pendant la pandĂ©mie et maintenant dans la guerre en Ukraine. Alessandro Gisotti - CitĂ© du Vatican François est un homme qui non seulement entend, mais qui Ă©coute». Il est significatif que cette dĂ©finition du Pape ait Ă©tĂ© proposĂ©e par le secrĂ©taire-gĂ©nĂ©ral de Caritas-Spes Ukraine, le pĂšre Vyacheslav Grynevych, aprĂšs une rĂ©cente rencontre avec le Pape Ă  la Maison Sainte-Marthe. Le prĂȘtre pallottin a confiĂ© que c'est prĂ©cisĂ©ment cela -"Ă©couter"- qui est en fait la tĂąche la plus importante que lui, comme les autres travailleurs et bĂ©nĂ©voles de Caritas Ukraine, accomplit, en plus du travail humanitaire, depuis le 24 fĂ©vrier, jour du dĂ©but de l'invasion russe. Écouter la souffrance des mĂšres qui ont perdu leurs enfants, celle des pĂšres qui se battent pour dĂ©fendre leur patrie et ne savent pas s'ils reverront leur famille. Écouter les cris inconsolables des enfants qui, depuis presque cent jours, vivent dans la terreur, aspirĂ©s par une guerre cruelle qui a interrompu le cours naturel de leur existence faite de jeux, d'Ă©cole et d'affection familiale, comme devrait l'ĂȘtre la vie de tout enfant. Écouter, donc, pas entendre. Parce que pour entendre il suffit d'avoir l'oreille, pour Ă©couter il faut avoir le cƓur. LĂ  est le siĂšge de l'Ă©coute. Se faire voisin d'autrui par l'Ă©coute Lorsque le Pape François a choisi comme thĂšme de la JournĂ©e mondiale des communications de cette annĂ©e prĂ©cisĂ©ment l'Ă©coute, sa rĂ©flexion s'est principalement appuyĂ©e sur l'expĂ©rience traumatisante de la pandĂ©mie de Covid-19. Il faisait rĂ©fĂ©rence Ă  la solitude existentielle Ă  laquelle une partie de l'humanitĂ© Ă©tait nĂ©cessairement contrainte par les restrictions sanitaires qui paralysaient ce qui distingue le plus l'ĂȘtre humain, la personne les relations avec ses pairs. Ce n'est pas une coĂŻncidence, lit-on dans le message pour la journĂ©e qui sera cĂ©lĂ©brĂ©e dimanche prochain, que la capacitĂ© d'Ă©couter la sociĂ©tĂ© est plus prĂ©cieuse que jamais en ce temps blessĂ© par la longue pandĂ©mie». Pour François, nous devons prĂȘter l'oreille et Ă©couter profondĂ©ment, en particulier le malaise social accru par le ralentissement ou la cessation de nombreuses activitĂ©s Ă©conomiques». Pouvoir, donc, capter le dĂ©sir d'ĂȘtre entendu, qui a grandi hors de toute proportion dans les plis de ce silence contre nature qui s'est abattu sur nos communautĂ©s depuis tant de mois, nous faisant redĂ©couvrir la nĂ©cessitĂ© de nous rendre proches un thĂšme, la proximitĂ©, du premier message de François pour les communications sociales, en 2014. Ce n'est que si l'on se rapproche de l'autre, si l'on se fait son voisin, si l'on est Ă  un battement de cƓur de lui -semble suggĂ©rer le Pape- que l'on peut vraiment l'Ă©couter. Le bruit de la guerre Si, par consĂ©quent, le thĂšme de l'Ă©coute est nĂ©, avant tout, de l'expĂ©rience de la pandĂ©mie, il n'en a pas moins de valeur dans le contexte tragique de la guerre en Ukraine, ainsi que de tout conflit. Si, en effet, dans la pandĂ©mie, la capacitĂ© d'Ă©coute devait trouver les bonnes frĂ©quences dans le silence, maintenant c'est dans le vacarme des armes, dans le bruit de la guerre que cette attitude du cƓur doit pouvoir intercepter la voix de ceux qui souffrent. Selon une vision fonctionnaliste de la communication, elle se produit» s'il y a un Ă©metteur, un rĂ©cepteur et un code partagĂ©. La communication Ă©tait donc centrĂ©e sur le fait de dire quelque chose» plutĂŽt que d'Ă©couter quelqu'un». La guerre, tout comme la pandĂ©mie, a au contraire dĂ©montrĂ© ce que le philosophe Abraham Kaplan nĂ© Ă  Odessa, citĂ© par le Pape dans le message, avait dĂ©jĂ  indiquĂ©, Ă  savoir que la communication authentique ne se rĂ©duit pas Ă  la juxtaposition de deux monologues un duologue, mais exige que le "je" et le "tu" soient tous deux en sortie», tendus l'un vers l'autre. L'Ă©coute, Ă©crit François, est donc le premier ingrĂ©dient indispensable du dialogue et de la bonne communication. On ne communique pas si on n'a pas d'abord Ă©coutĂ© et on ne fait pas du bon journalisme sans la capacitĂ© d'Ă©couter». Écouter ceux qui ont la voix la plus faible Dans cette derniĂšre dĂ©claration, nous trouvons une exhortation et une mission pour les travailleurs de l'information, surtout dans une conjoncture historique aussi dĂ©licate et imprĂ©visible que celle que nous vivons. Pour faire une bonne communication, un bon journalisme, il faut Ă©couter. Tout d'abord, Ă©couter ceux qui ont la voix la plus faible. Une tĂąche dont s'acquittent, mĂȘme au pĂ©ril de leur vie, les nombreux journalistes prĂ©sents sur le terrain en Ukraine, ainsi que ceux qui travaillent dans tout autre endroit oĂč se dĂ©roulent des guerres plus ou moins oubliĂ©es. Écouter demande de la patience, de l'humilitĂ©. Une vertu qui, comme l'a dĂ©clarĂ© le Pape lors de sa rencontre avec les journalistes de l'Association de la presse Ă©trangĂšre en Italie le 18 mai 2019, rend libre et non mĂ©diocre. Le journaliste humble, dĂ©clarait-il Ă  cette occasion, est un journaliste libre. Libre de tout conditionnement. Sans prĂ©jugĂ©s, et pour cette raison "courageux". Une libertĂ© qui doit ĂȘtre prĂ©servĂ©e aujourd'hui plus que jamais, en sachant que celle des travailleurs de l'information n'est pas seulement un mĂ©tier, mais une mission au service du bien commun. Le HuffPost a pu prendre en mains les Airpods Pro, les nouveaux Ă©couteurs sans-fil d'Apple Ă  rĂ©duction de bruit active. Le HuffPost Les Airpods Pro d'Apple sont-ils les nouveaux Airpods? Le HuffPost TECHNO - Les Airpods Pro sont-ils les nouveaux Airpods? Plus sĂ©rieusement, Apple a vĂ©ritablement trustĂ© le marchĂ© des Ă©couteurs sans-fil depuis plus de deux ans. À chaque nouveau modĂšle concurrent, la technosphĂšre s’interroge “A-t-on trouvĂ© les nouveaux Airpods?” Sans ĂȘtre fonciĂšrement les meilleurs modĂšles en termes de rapport qualitĂ©/prix nos tests l’ont dĂ©montrĂ©, il faut avouer que les Airpods/Airpods 2 sont partout, dans nos villes, dans nos campagnes... et nos oreilles. Avec les Airpods Pro officiellement sortis ce mercredi 30 octobre, Apple va plus loin en proposant de vĂ©ritables Ă©couteurs intra-auriculaires avec une rĂ©duction de bruit active. Le HuffPost a pu prendre en main les Airpods Pro et vous propose, en attendant un test plus complet, un bref aperçu des nouveaux Ă©couteurs “true wireless” d’Apple. Des Airpods plus petits, plus lĂ©gers et plus intelligents Souvent raillĂ©, par effet de mode, le design des Airpods 2 Ă©voque pour certains celui d’un sĂšche-cheveux. Mais au premier contact, c’est surtout la taille assez rĂ©duite des Airpods Pro qu’on peut saluer par rapport au look de coton-tige high-tech des modĂšles prĂ©cĂ©dents. Les Airpods Pro sont d’ailleurs de vĂ©ritables intras, c’est-Ă -dire qu’ils s’insĂšrent dans le conduit auditif alors que les Airpods classiques reposent simplement sur la conque de l’oreille. Un plus pour ceux d’entre vous qui aimeraient les utiliser pour le sport, les Airpods Pro promettant un meilleur maintien que leurs aĂźnĂ©s ainsi qu’une certification IPX 4 contre la sueur et la pluie mais pas la poussiĂšre. Chaque Ă©couteur est aussi dotĂ© d’un systĂšme de ventilation qui permet de faire circuler l’air Ă  l’intĂ©rieur du canal auditif afin d’éviter une sensation de bouchon. Les Airpods Pro sont livrĂ©s avec trois paires d’embouts en silicone de trois tailles diffĂ©rentes S,M L. Une fonctionnalitĂ© permet de tester l’ajustement des embouts et vous indique si vous avez choisi la bonne taille et si vous les avez insĂ©rĂ©s correctement comme vous pouvez le voir ci-dessous. Le HuffPost Les Airpods Pro d'Apple peuvent tester l'ajustement de leurs embouts et vous aider Ă  le corriger Le HuffPost La rĂ©duction de bruit prometteuse L’avantage des intras sur un casque audio, c’est la rĂ©duction de bruit passive qu’ils confĂšrent grĂące Ă  leurs embouts qui obstruent le canal auditif. Cette rĂ©duction, qui est matĂ©rielle, est dĂ©sormais Ă©paulĂ©e sur les Airpods Pro par une rĂ©duction de bruit logicielle, qu’on dit active. ConcrĂštement, les Airpods Pro analysent les bruits ambiants avec les deux micros embarquĂ©s dans chaque Ă©couteur. Ils opĂšrent alors une “annulation” de phase en diffusant un son inverse Ă  ceux de votre environnement pour les attĂ©nuer. Et sur ce point Apple semble s’en tirer plutĂŽt bien, en tout cas Ă  l’issue de notre trĂšs courte prise en main il faudra attendre le test complet pour ĂȘtre plus dĂ©finitif. D’autant que sur le marchĂ© des Ă©couteurs 100% sans-fil, la rĂ©duction de bruit active reste encore Ă©mergente. À l’heure actuelle, seule une poignĂ©e de concurrents la proposent Ă©galement. C’est le cas de Libratone et ses Track Air+, des excellents Sony WF-1000XM3 ou des Freebuds 3 de Huawei. Les Airpods Pro disposent aussi d’un mode “Transparence” qui n’a rien de nouveau, mais qui permet d’amplifier ou laisser passer les bruits extĂ©rieurs lorsque vous les portez. Une fonction pratique pour ne pas avoir Ă  retirer les Airpods Pro lors d’une brĂšve conversation ou simplement pour entendre les voitures arriver au moment de traverser la rue. Pour ce faire, il faut soit passer par le menu du volume de l’iPhone, soit presser fort la tige des Ă©couteurs. Un prix revu Ă  la hausse, contrairement Ă  l’autonomie Les Airpods Pro promettent exactement la mĂȘme autonomie que les Airpods 2, ni plus ni moins. On a donc 5 heures d’écoute 4h30 avec la rĂ©duction de bruit active allumĂ©e ou 3h30 d’appels. Le boitier de recharge sans-fil permet de rĂ©cupĂ©rer une heure d’autonomie en 5 minutes de charge, selon Apple. Vous pouvez effectuer jusqu’à 4/5 recharges complĂštes avant de devoir recharger le boitier lui-mĂȘme. Mais, contrairement Ă  l’autonomie, le prix des Airpods Pro augmente. Les Ă©couteurs sont vendus pour 279 euros, contre 229 pour les Airpods 2 avec le boitier de recharge sans-fil. Soit un prix plus Ă©levĂ© que la concurrence proposant des Ă©couteurs avec rĂ©duction de bruit. Une facture qui risque d’ĂȘtre encore plus salĂ©e si vous avez le malheur de perdre l’un de vos Airpods Pro. Le prix de remplacement d’un -oui d’un seul Ă©couteur- indiquĂ© par Apple sur son site est de 99 euros. Apple Vous n'avez pas intĂ©rĂȘt Ă  perdre vos Airpods Pro Apple On comprend mieux pourquoi Apple a fait le choix de proposer de vĂ©ritables intras. Vous aurez tout intĂ©rĂȘt Ă  bien les ajuster avant de sortir avec. Pour ce qui est de savoir s’ils valent leurs 280 euros, il faudra attendre notre test complet des Airpods Pro d’Apple. À voir Ă©galement sur Le HuffPost Certains liens de cet article renvoient vers des sites marchands, Le HuffPost peut recevoir une rĂ©munĂ©ration si un lecteur achĂšte le produit en ligne. Tous les articles publiĂ©s sur Le HuffPost sont choisis et Ă©crits en totale indĂ©pendance. Les experts interrogĂ©s sont Ă©galement indĂ©pendants des marques ou produits qu’ils citent. En savoir plus. ***This post is a transcript of a video on my YouTube channel. Bonjour, ici c’est Steve Kauffman. Aujourd’hui je veux parler de “l’écoute” dans l’apprentissage des langues, parce que pour moi, c’est, disons, “la tache” dans l’apprentissage des langues. Et pour ceux qui ne me connaissent pas j’en suis Ă  ma 19Ăšme et 20Ăšme langues, c’est Ă  dire, l’Arabe et le que je fais plus qu’autre chose c’est â€œĂ©couter”; “L’écoute”.L’écoute pour moi c’est l’outil, c’est l’arme essentielle dans la conquĂȘte des nouvelles D’abords, parce que c’est trĂšs facile Ă  faire. Je le fais le matin quand je me lĂšve, je fais des exercices, le matin j’écoute la langue. Je prĂ©pare le petit dĂ©jeuner, j’écoute la langue que je suis entrain d’apprendre. Si je suis dans ma voiture, si je fais d’autres taches, je nettoie la maison ou quoique ce soit, je peux toujours Ă©couter, et ça n’a jamais Ă©tĂ© plus facile. Je peux tĂ©lĂ©charger des contenus d’internet, des livres sonores, des podcasts, des vidĂ©os de Netflix, de Youtube.. n’importe quoi, et j’écoute!Donc, l’écoute, ça commence.. C’est le premier pas. Parce qu’en Ă©coutant, il y a des choses que je ne vais pas comprendre, lĂ , je vais vouloir lire parce que je n’ai pas compris et lĂ  je lis, parce que j’ai une application qui s’appelle lingQ. Donc j’utilise, le plus souvent, l’iPad ou bien le tĂ©lĂ©phone, l’iPhone pour travailler ce texte, parce que j’écoute toujours des choses, oĂč j’ai un texte, oĂč j’ai la possibilitĂ© de comprendre. Si on Ă©coute, et on Ă©coute, et on comprend jamais rien, ça n’aide pas beaucoup. Donc, ce qu’il faut c’est travailler le texte, chercher les mots et les expressions incomprises, chercher les explications, relire, Ă©couter de nouveau. Donc, c’est ce genre de processus qui m’emmĂšne d’un niveau dĂ©butant jusqu’à un niveau oĂč je peux sans difficultĂ© Ă©couter des podcasts politiques, suivre des films Netflix ou ailleurs
 Et c’est un processus assez long et Ă  chaque Ă©tape c’est Ă  l’écoute que je passe 75% de mon temps en apprenant une quand j’écoute, il n’est pas possible pour moi de me concentrer tout le temps. Donc, il y a quelque chose dans l’écoute qu’il faut savoir. Quand on a une certaine expĂ©rience dans l’apprentissage des langues, on sait qu’il y aura toujours des choses qu’on ne comprend pas. On ne peut pas totalement se concentrer, on ne doit pas vouloir ou exiger de soi-mĂȘme qu’on puisse tout comprendre, ce n’est pas possible, ni qu’on puisse toujours se j’écoute quelque chose dans la voiture en m’exerçant le matin. Si j’écoute pendant 15 minutes, peut-ĂȘtre, qu’il y aura lĂ , selon ce que je suis en train de faire, il y aura 20% du temps oĂč je vais me concentrer, 50% du temps.. Mais, peu importe, parce que de toute façon, surtout quand on est entrain de se concentrer et mĂȘme si on n’est pas en train de se concentrer, la langue entre dans le cerveau et ça nous permet de s’accoutumer Ă  une autre langue ; le rythme, l’intonation, les expressions, le choix des mots, enfin, toutes ces choses-lĂ  qui sont tellement importantes. Donc, l’écoute c’est non seulement le moyen ou l’activitĂ© qui est la plus facile, du moins dans mon cas, oĂč je passe la plupart de mon temps, mais c’est aussi le but! Parce que pour moi la comprĂ©hension orale, c’est la chose la plus importante. C’est la premiĂšre, disons, Ă©tape ».Si l’on peut bien comprendre ce que dit l’autre, ce que l’on raconte dans des films, dans des podcasts, ça nous donne une espĂšce de base qui va nous permettre de nous exprimer dans cette langue. Parce que lĂ  on peut s’engager dans des discussions, des conversations avec des gens qui parlent bien la langue et on va comprendre ce que eux ils disent et si on n’a pas ce niveau de comprĂ©hension orale on ne pourra pas participer Ă  ce genre de conversations, on ne pourra pas tirer profit des films parce que on ne comprend pas. Mais, dĂšs qu’on comprend, par exemple dans le cas des films ou des sĂ©ries Netflix ou n’importe quoi. Si on comprend, 75-80%, la plupart de ce qu’ils racontaient dans ces films. On peut en tirer profit et on va s’amĂ©liorer et on va amĂ©liorer son niveau dans la langue, puisqu’on a dĂ©jĂ  un certain niveau de comprĂ©hension. Mais il faut travailler ce niveau de comprĂ©hension, donc il faut Ă©couter. Écouter et travailler les textes pour que ce qu’on Ă©coute devienne de plus en plus comprĂ©hensibleBon, Une autre chose
On ne peut pas, c’est Ă  dire si moi je commence une langue comme j’avais fait pour l’Arabe, le Persan, le Grec, le Roumain. Au dĂ©but, c’est du bruit, je ne comprends rien! Mais j’écoute des choses assez brĂšves et je cherche des mots et des expressions dans lingQ lĂ  et je lis et je réécoute et relis, et ça continue comme ça. Mais je ne vais pas
 Et finalement, Ă  la fin, je vais Ă©couter la mĂȘme chose. Parce qu’on a par exemple Ă  lingQ, les mini-stories, qu’on appelle les petites histoires avec beaucoup de rĂ©pĂ©titions. Bah, je vais Ă©couter la mĂȘme histoire en Arabe 30 pas 30 fois Ă  la fois, c’est ça qui est important. Je vais Ă©couter la premiĂšre histoire, la deuxiĂšme, la troisiĂšme, la cinquiĂšme.. Puis je vais réécouter, retravailler la premiĂšre puis la 2Ăšme, 3Ăšme, 4Ăšme, 5Ăšme, 6Ăšme, 7Ăšme et ensuite, la premiĂšre.. De cette façon lĂ , on va avoir assez de rĂ©pĂ©titions, mais sans que ça devienne, ce qu’on appelle en anglais “The block learning”. On peut pas dire, je vais complĂštement maitriser ce contenu, ce n’est pas possible. Il faut donner au cerveau la possibilitĂ© de se balader un petit peu, pas trop essayer de forcer la chose. Parce que plus on Ă©coute ou on lit la mĂȘme chose Ă  maintes reprises, moins on apprend. C’est parce que, comme dit le fameux Neuroscientist Allemand Manfred Spitzer “Le cerveau a besoin de rĂ©pĂ©tition mais de nouveautĂ©â€.Il ne faut pas donner uniquement au cerveau rien que de la rĂ©pĂ©tition. Il faut aussi donner de la nouveautĂ©, le cerveau veut des choses nouvelles. Donc, il faut mĂ©nager un peu le contenu qu’on est entrain d’écouter une fois qu’on est arrivĂ© Ă  un certain niveau oĂč on comprend des podcasts politiques, et on ne manque que 10% des mots. Alors, lĂ , pas la peine d’écouter tellement de fois. Parce que, la plupart du contenu lĂ , on l’a compris. Mais au dĂ©but quand on a compris que 10, 15, 20% et qu’il faut lire et ensuite réécouter etc.. Alors lĂ , il faut Ă©couter beaucoup de fois, mais pas Ă  la fois, c’est ça qui est qu’est ce qu’il y avait encore Ă  dire, Il ne faut pas trop essayer de maitriser, il ne faut pas ĂȘtre frustrĂ© quand on ne comprend pas, il ne faut pas ĂȘtre frustrĂ© si on est incapable de se concentrer. Par ailleurs, je suis.. pour moi c’est plus facile de se concentrer si je suis entrain de faire autre chose Ă  la fois, alors que si je m’assoie et je vais essayer d’écouter, rien faire que d’écouter. Alors lĂ , je vais avoir davantage de difficultĂ© Ă  me concentrer. Mais si je fais autre chose, je laisse mon esprit se balader, je me concentre de temps en temps, puis ensuite je ne me concentre ce faisant, je trouve que la 20Ăšme fois que j’écoute quelque chose je vais m’apercevoir d’une chose que je n’avais pas observĂ© avant. Oui, parce que d’autres choses sont devenues Ă©videntes, mais lĂ , une chose, une structure dans la langue, une prononciation, un choix de mot que je n’avais pas notĂ©, tout d’un coup ça devient pour moi Ă©vident et donc j’assimile ce nouveau phĂ©nomĂšne dans la langue et c’est ça l’avantage de l’écoute Ă  maintes reprises, de la mĂȘme chose, mais pas Ă  la qu’une fois qu’on est dĂ©jĂ  plus avancĂ©, alors lĂ , j’écoute pour le plaisir, j’écoute pour le plaisir d’un
 J’écoute pour le plaisir un audio livre, un livre sonore de la littĂ©rature etc.. dans les langues ou je suis plus avancĂ©. Mais de toute façon l’écoute
 L’écoute disons, organisĂ©e » d’une façon intelligente et rĂ©aliste, je crois que c’est l’activitĂ© la plus importante dans l’acquisition des langues, bien sĂ»r, ça va avec, quand mĂȘme, la lecture, l’opportunitĂ© et l’occasion de parler et Ă©ventuellement d’écrire dans la langue. Mais l’écoute c’est quand mĂȘme, pour moi, ce qu’il y a de plus important dans l’acquisition ou l’apprentissage des langues et c’est aussi un but ! Parce que l’écoute ça veut dire la comprĂ©hension beaucoup ! Donc j’ai fais cette vidĂ©o en Français, la plupart du temps je parle en Anglais, parce que la plupart des gens qui suivent ma chaine ils parlent mieux l’Anglais que le Français. Et toutes les vidĂ©o que je fais ici sont importĂ©es, sont disponibles comme leçons Ă  je prĂ©fĂšre quand mĂȘme puisque je ne suis pas natif en Français. Il est mieux donc d’étudier et d’apprendre Ă  partir de personnes qui sont natives de la langue. Donc, j’hĂ©site Ă  faire des vidĂ©os en Français qui deviendront donc des leçons Ă  lingQ. Mais je parle aussi dans d’autres langues de temps en temps. J’ai fais un vidĂ©o avec un autre Steve qui parle Japonais mais d’une façon absolument incroyable et impressionnante, et je vais laisser un lien pour ceux qui s’intĂ©ressent au Japonais. Et ils pourront m’entendre discuter avec cet autre Steve, un AmĂ©ricain d’ailleurs, en ! Merci beaucoup pour votre Ă©coute » ! Au revoir !

écoute écoute surtout ne fais pas de bruit